Résumé : Cet article part de l’Anthologie de l’humour noir d’André Breton pour poser la question du rire de Rimbaud, rire qui serait dépourvu de tout humour, même noir. Contestant les bases freudiennes de l’analyse de Breton, il propose une autre vision du rire de Rimbaud qui s’appuie essentiellement sur « Bannières de Mai » qu'il lit au signifiant près.