Résumé : La quatrième strophe de Mémoire semble comporter un jeu de mots : « le souci d’eau » forme en effet le paronyme de « Le suicidé ». Plus qu’une démarche volontaire, cette expression pourrait constituer un signifiant, selon l’enseignement de Jacques Lacan qui montre que la lettre est au cœur de l’écrit du refoulement. Il n’est pas exclu que le texte soit à la base le récit d’un rêve et il mérite à ce titre d’être interprété à l’aune des transformations qu’il ne manque pas de produire.