Résumé : La présente étude entend poursuivre le travail entamé dans l’article « De “Ville” à Liberté grande », publié dans la 26e livraison de Parade sauvage et qui s’attachait à analyser l’influence d’Arthur Rimbaud sur les œuvres de Julien Gracq, et, plus particulièrement, sur ses poésies. Dans cette contribution, c’est au versant romanesque de l’œuvre gracquienne que nous nous intéressons, à travers une relecture du deuxième roman de l’auteur, Un beau ténébreux, qui multiplie les allusions au poète.