Résumé : À l’intérieur de la vaste entreprise éditoriale de Panckoucke, les volumes d’Architecture semblent entretenir un rapport privilégié avec ceux des Beaux-arts, pour des raisons différentes. Un regard plus proche sur les deux Dictionnaires montre que ce rapport, bien qu’existant et quasiment incontournable, est toutefois controversé, problématique et, parfois, conflictuel.