Résumé : Les scènes d’ouverture des pièces d’Isaac de Benserade sont toujours fondées sur le détournement des constantes du sujet traité ou du genre abordé. Elles ne marquent cependant pas une véritable rupture avec la tradition ni avec les modèles contemporains : elles apparaissent en revanche comme des lieux privilégiés de construction et de promotion d’une identité auctoriale moderne et sensible aux attentes d’un public mondain.