Abstract: Apostrophe et interrogation étant les figures interlocutives les plus employées à l’ouverture des tragédies classiques, nous proposons une étude stylistique de leurs différentes réalisations. L’exploitation de ces figures motive ainsi le récit initiant l’action en même temps qu’elles valorisent l’interaction dès l’entrée des personnages sur scène. Permettant de passer linguistiquement de rien à tout, elles négocient dès les premières lignes l’articulation entre argumentation et action.