Résumé : L’air avec lequel Catherine, dans Pomme d’Api, se présente – aussi bien à Rabastens qu’au public – est en apparence bien anodin… En apparence seulement, car à y regarder de plus près – et notamment à la lumière de l’ouvrage d’Anne Martin-Fugier, La Place des bonnes : la domesticité féminine à Paris en 1900 –, on constate qu’il est on ne peut plus révélateur de la condition qui était, en France, celle des femmes et des domestiques en cette fin de xixe siècle.