Résumé : En envisageant la façon dont le monde théâtral anglophone s’est emparé de La Belle Hélène, entre 1866 et 2011, le panorama dressé par cet article montre combien est délicate la transposition du répertoire offenbachien dans un monde qui n’est pas le sien et quels sont les procédés, plus ou moins pertinents, auxquels eurent recours les adaptateurs, en particulier dans les parties chantées.