Résumé :Prima la musica, e poi le parole. L’étude de la relation entre signe musical et signe verbal se résume souvent à une forme de dualité : qui, du texte ou de la musique, « modèle » l’autre ? Or l’œuvre d’Offenbach permet de dépasser cette dualité, grâce notamment au rôle dévolu à la situation, qui permet le passage des événements sonores (texte comme musique), et désamorce tout rapport d’ascendance entre le mot et la note, les deux participant d’une destruction de la prosodie traditionnelle.