Résumé : Alors que les représentations de Charles Ier au début de son règne présentaient un roi martial et héroïque, le roi est rarement mis en scène en tant que chef de guerre lorsque éclate la guerre civile. Eikon Basilike confirme cette redéfinition de l’héroïsme royal dans une perspective spirituelle et stoïcienne qui est lue comme ses opposants comme une féminisation de la figure royale.