Résumé : L’enjeu structurant de La Vie de Marianne est l’absence de parents, c’est-à-dire de toute généalogie. C’est le tourment et le paradoxal atout de l’héroïne. Malgré sa revendication d’exceptionnalité dans ce domaine, les dysfonctionnements de la famille sont généralisés : veuves, orphelins, fils ingrats, frères défaillants, cousins venimeux. Le personnage de Tervire conclut la fiction dans un paroxysme mortifère des liens familiaux.