Résumé : La présence de lettres significativement plus importante dans la trilogie que dans les autres pièces de Beaumarchais incite à y porter attention. Qu’elle soit texte, discours, acte ou accessoire, la lettre est un objet dramaturgique protéiforme qui se prête aux métamorphoses et aux significations les plus variées. Cet article cherche à montrer que ce léger morceau de papier constitue un lien unificateur entre les trois pièces, mais participe également de leur gravité croissante.