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Classiques Garnier

Table des matières

345

Table des matières

Avertissement     7

Préface     9

Introduction    15

PREMIÈRE PARTIE

PROJET ENCYCLOPÉDIQUE
ET NORME DE LA SCIENCE

AUTOUR DE LA NOVA METHODUS DISCENDAE
DOCENDAEQUE JURISPRUDENTIAE
(1667)

Introduction

De la méthode à lEncyclopédie    33

1. Considérations préliminaires sur les études :
lacquisition des habitus    36

2. Le détour encyclopédique : recension des habitus
et unité des sciences    40

3. Éléments dune théorie de la science sans théorie
de la connaissance    47

I. Genèse et norme de la science    51

I. Questions de méthodes    57

1. « Méthode naturelle » et critique du ramisme    57

2. Méthode « divisive » et méthode « scientifique »    63

346

II. Leibniz et le mos mathematicus    68

1. Lordre axiomatique des géomètres    68

2. Équivocité de lanalyse    72

III. La norme de la science    79

1. Lieu systématique de la définition de la science    79

2. De lexpérience à la science    81

3. La nécessité comme analycité –
« ex ipsis terminis demonstrabilis »    84

II. LArt dinventer et ses fondements

Leibniz, Bisterfeld et les relations transcendantes   101

I. Deux modèles dinvention   107

1. Topique et combinatoire   107

2. Les loci inventionis dans le De Arte Combinatoria   109

II. La « doctrine métaphysique des relations
de lÉtant avec lÉtant »   111

1. Bisterfeld et limmeatio   114

2. Lhéritage scolastique des métaphysiciens calvinistes :
la distinction des relations   117

3. Consistentia, existence, harmonie   121

Épilogue : lavenir de la topique   128

Conclusion   131

III. La Métaphysique et les Sciences   133

I. Les sciences des termes   135

1. Simples   135

2. Philosophie abstraite et philosophie concrète   149

II. La Métaphysique, science de létant et de ses affections   155

1. LÉtant comme sensible et comme imaginable   157

2. Les relations ou « affections de létant »   176

Conclusion   189

347

DEUXIÈME PARTIE

UNIVERSAUX ET VÉRITÉS ÉTERNELLES

RÉFLEXIONS SUR LES FONDEMENTS
DE LA SCIENCE 1668-1673

Introduction

Logique verbale et logique réelle   195

IV. Luniversel introuvable   209

I. « Conceptualisme » contre « nominalisme radical » ?   212

1. Complexité de la position épistémologique
de Nizolius   215

2. Une critique éclatée   220

II. Un problème déplacé : lémergence de la généralité   226

1. Faits et raisons   227

2. La controverse méréologique
et son arrière-plan historique   230

3. Un fondement ontologique contradictoire   234

III. Un problème séculaire et sa solution
provisoire : la prédication sur les classes vides   241

1. « Les disputes des summulistes de constantia subjecti »   242

2. Lexistence comme « pierre de touche »
de la possibilité   246

3. La reprise dune solution traditionnelle : les individus
possibles, vérifacteurs des propositions de raison   253

Conclusion   257

V. Idée et définition   259

I. Lidée, notion subsidiaire ?   261

1. Idées divines et créatures   261

2. Lenjeu épistémologique : comment dépasser
la particularité de lexpérience ?   265

3. La psychologie absente   270

348

II. La définition comme « signification signifiée »   274

1. Le défi hobbesien : une aporie sans solution   274

2. La genèse des idées dans lhistoire des langues   279

III. Une « épistémologie platonicienne » ?   283

1. Lidée comme « imagination claire et distincte »   285

2. De la signification à lidée   290

3. La clarté comme index realitatis   292

Épilogue. Statut ontologique des possibles
et définition de la possibilité dans les écrits parisiens   299

Conclusion   306

Conclusion générale   309

Bibliographie   317

Index Nominum   339