Résumé :Noé : la solution après que l’Histoire a fermé le réel au désir de noces avec le Monde-Mère. Le livre est l’« arche » où goûter sans mourir au vertige de la perte – donc indirecte –, dotée à cette fin des attributs du vrai monde : labyrinthique, ouverte, diluvienne. L’écrivain est un « avare » par refus de la « pure perte » et mépris pour les leurres que la société offre au désir. Mais le seul vertige n’est-il pas celui de la page blanche, seul réel sur quoi donnerait donc l’arche-porche du livre ?