Résumé : Swedenborg est cité plusieurs fois. Dans Aurélia, il est fait allusion au théosophe suédois au début du texte ; il est présenté comme une référence majeure, à côté de Dante et d’Apulée. La vision nervalienne y est rapprochée des Mémorables swedenborgiens. Le mot sera repris pour titre au poème en prose qui sert de première clôture au récit. L’article étudie cette relation à la fois présente et difficilement isolable, en raison d’un travail d’estompe, de multiples intertextes et d’absorption.