Résumé : L’article revient sur le statut de la référence à Dickens : si le narrateur nervalien présente la lecture du romancier anglais comme stimulus de son exploration des bas-fonds parisiens, il renonce à l’imitation pour un voyage digressif marqué par la rêverie et l’échec de l’observation objective. Cette dynamique, souvent interprétée comme la critique du réalisme, distingue un autre réalisme, contribuant à la tentative de proposer un point de vue qui laisse place au subjectif au cœur du réel.