Résumé : La place de l’emprunt au sein des procédés d’enrichissement du lexique d’une langue varie selon les approches : parfois inclusion, parfois opposition, parfois même disparition. La dichotomie matrices internes vs emprunt est préférable à la tripartition traditionnelle : formel, sémantique, emprunt. Des influences externes se manifestent autrement que par l’emprunt, qui se différencie aussi des xénismes, pérégrinismes, statalismes… Suivent des remarques sur leurs classements et leur réception.