Abstract: Le présent article analyse le petit recueil que s’était constitué un étudiant en droit à Toulouse dans les années 1560, connu grâce à un bref memorandum de sa main : il possédait en particulier une édition de Pantagruel. Les attestations de la présence des œuvres de Rabelais dans les bibliothèques contemporaines sont rares – qui plus est dans la ville qui avait brûlé Jean de Caturce – et celle-ci était restée inconnue de Marcel de Grève.