Résumé : Dans le prolongement de la « censure antique » étudiée par Mireille Huchon dans Rabelais grammairien (1981), cet article se veut une contribution à une typologie des spécificités rabelaisiennes en matière d’orthographica dans l’édition de corpus néo-latins afin de permettre à terme l’identification éventuelle d’autres éditions publiées à l’enseigne du griffon, voire chez d’autres imprimeurs, où Rabelais serait intervenu sans signer son travail de son nom, de sa devise ou de sa marque d’éditeur.