Résumé : On s’interroge ici sur la question des faux et des textes apocryphes, en se focalisant non sur Rabelais, mais sur les nombreux traités faussement attribués à Paracelse à partir du milieu du xvie siècle. On montre comment certaines de ces attributions étaient conçues comme des continuations, et non des falsifications. D’autres traités apocryphes parmi les plus célèbres se fonderaient (lit-on souvent) sur des brouillons de Paracelse, adaptés après sa mort : ce point est également traité ici.