Abstract: Malgré la rupture indéniable entre Renaissance et Moyen Âge, la pratique des éditeurs est loin de repousser dans le néant les œuvres médiévales. La production des imprimés en témoigne : même si les connaissances de la science évoluent et si les écrits changent de forme comme de modes de diffusion, la pensée médiévale continue à être diffusée. Les écrits d’astronomie, malgré les transformations théoriques, démontrent ainsi un intérêt réel pour ce qui, pourtant, est une pensée du monde d’avant.