Abstract: L’article étudie deux consolations adressées à Marguerite de France après la mort de son père, le roi François Ier. Celle, en français, de Claude d’Espence, qui traduit les Tessaradecas consolatoria de Luther, est marquée par un christocentrisme commun à bien d’autres membres de la cour de la princesse. Celle, en italien, de l’exilé florentin Gabriele Simeoni vise plutôt à célébrer les vertus de son père et des siens, afin d’obtenir la faveur du nouveau roi.