Résumé : En examinant des œuvres de tous genres qui reconduisent trois motifs précis mettant en scène un luiton (roman, épopée, fabliau, etc.), cette étude souligne la polyvalence générique de cette figure surnaturelle, mais démontre à la fois que son emploi fait l’objet d’une spécialisation en fonction de chaque genre. L’épopée profite notamment de la plasticité de cette figure dans son renouvellement « holistique » à partir du xiiie siècle alors que le roman la tient plutôt à l’écart.