Résumé : L’influence de la nouvelle Le Bonheur dans le crime sur la création artistique de l’artiste Paul Gauguin est révélée par un épisode autobiographique peu exploité. Elle se traduit notamment par divers réemplois de la coiffe, commune à l’héroïne des Diaboliques et l’œuvre de Gauguin, émaillée de personnages encapuchonnés ou voilés. Or coiffes et capuches traduisent la pression moralisatrice, chrétienne et bourgeoise, qui opprime la sexualité de la femme au xixe siècle.