Table des matières
- Type de publication : Chapitre d’ouvrage
- Ouvrage : Méthodes et pratiques de l’édition critique des textes et documents modernes
- Pages : 907 à 921
- Collection : Bibliothèque de littérature du xxe siècle, n° 27
- Thème CLIL : 3436 -- LITTÉRATURE GÉNÉRALE -- Oeuvres classiques
- EAN : 9782406086390
- ISBN : 978-2-406-08639-0
- ISSN : 2258-8833
- DOI : 10.15122/isbn.978-2-406-08639-0.p.0907
- Éditeur : Classiques Garnier
- Mise en ligne : 29/10/2019
- Langue : Français
Table des matières
INTRODUCTION GÉNÉRALE 7
PREMIÈRE PARTIE
LA PATRIMONIALISATION
DES AUTEURS
AUX GRANDS HOMMES, L’ÉDITION RECONNAISSANTE 39
Le grand homme 39
Un culte des grands hommes 39
Les hagiographies d’écrivains 41
Usages anachroniques
de la notion moderne d’« auteur » 44
De la relativité des grands hommes 46
L’œuvre complète : vers un panthéon éditorial 46
Les œuvres complètes de la fin du xixe siècle 46
L’édition de « Kehl » des œuvres de Voltaire 50
Chateaubriand et Victor Hugo, patrimoines nationaux 51
La bibliographie auctoriale 53
Conclusion 56
L’ŒUVRE SOUS TUTELLE 59
Les légitimités légales : le substitut de l’auteur 59
Du privilège au droit d’auteur 60
La légitimité du « géniteur » 63
La délégation autorisée de la légitimité 66
908Incidences de la surveillance morale
et des revendications financières 68
Le mythe de la fidélité à la volonté 72
Délimiter son Œuvre 73
Les recommandations d’écrivains 76
Les revendications testamentaires 77
« Brûlez ! » : ces chefs-d’œuvre préservés de leur auteur 80
Les volontés à géométrie variable 83
L’art de faire parler les morts 85
Conclusion : l’édition comme interprétation
d’une volonté 89
Élargissement du domaine de la corruption :
il ne peut en rester qu’un 90
Co-auteur, corrupteur ? 91
Les œuvres croisées 94
Les traductions 95
Les productions non littéraires 97
Le statut du texte non authentifié 100
Le statut des éléments rattachés à l’œuvre 102
Conclusion 105
LES CLASSIQUES MODERNES, MODÈLES POUR LA NATION 107
Objectif de l’édition « classique » : l’éducation 107
Former le citoyen 108
Les classiques face à la morale et à la justice 109
L’édition critique peut-elle rendre inoffensif un texte ? 112
Les textes parascolaires : l’État décide, l’éditeur exécute 118
Le profil des éditeurs scientifiques 118
Les scolaires pour cible 120
L’établissement du texte et son annotation 123
Les effets de l’agrégation 125
Les thèses complémentaires (1903-1969) 131
Le « classique » moderne : évolution des représentations 138
Le classicisme français 139
Les aléas de la constitution du patrimoine 141
Ronsard et Chénier : deux classiques romantiques 144
909L’évolution des classiques officiels 146
Conclusion 149
DEUXIÈME PARTIE
LA PATRIMONIALISATION
DES ŒUVRES
LA CONSTITUTION D’ARCHIVES PUBLIQUES 155
À la recherche du patrimoine national 157
Étatisation des sociétés savantes 157
Le moment romantique 159
Le « génie du peuple » 161
La sauvegarde des textes modernes 163
Le rapport Cousin (1842) 164
Le don d’archives d’auteurs 167
Une société savante au xxe siècle : la STFM 170
L’exploitation des fonds 175
Les patrimoines en péril 180
La disparition de documents 181
Identifier et convaincre le collectionneur 182
Souscriptions, dations et préemptions 187
Des archives privées dans des fonds publics 191
Conclusion 192
LES VALORISATIONS DÉLÉGUÉES DES PATRIMOINES 193
Retrait progressif de l’État et délégation à des instituts 193
Dernières exceptions : les commissions nationales 193
Instituts savants, mécènes officiels 195
Lutter contre les lacunes du patrimoine 198
Incitations à la valorisation d’archives nationales 200
Comment réveiller les archives dormantes ? 200
Obstacles matériels à la consultation des archives 202
Les chercheurs saisissent-ils l’opportunité ponctuelle ? 204
910Le domaine public : une aubaine commerciale 206
Anniversaires et célébrations nationales 207
Les récompenses 209
Le patrimoine communautaire 218
Les motifs identitaire et ethnique 219
Le motif genré 220
Les motifs partisan et religieux 221
Les associations d’amis d’écrivains 224
Le mécénat intéressé 228
Ouverture : « Les Classiques du peuple »,
un exemple de lecture partisane 230
Origines de la collection 230
Le choix des auteurs 236
Le choix des œuvres 238
Les références marxistes 239
Conséquences : juger les écarts
par rapport à l’idéologie marxiste 244
Conclusion 247
RIEN NE SE PERD – CORPUS VALORISÉS 249
Les frontières amovibles de l’œuvre 250
Les paroles apocryphes 250
Les extractions 252
L’édition exponentielle 254
Les recueils 257
Le comparatisme et la greffe d’œuvres 259
L’appendice 260
Le rôle de l’histoire littéraire 269
Le journal intime : un genre qui tarde à s’affirmer 269
Le statut de la correspondance 272
Un genre épistolaire ? 275
Correspondances active et croisée 276
L’exploitation des archives modernes 280
Usages éditoriaux des manuscrits 280
Les corpus nés des études sur la genèse 283
911Sciences humaines et notes de cours 287
Conclusion 289
TROISIÈME PARTIE
COLLATIONNER ET PRÉSENTER
LES TÉMOINS
L’HEURISTIQUE (RÉPERTORIER LES TÉMOINS) 293
Bibliographies et stemmas 293
Du récit de l’histoire de l’œuvre
à la bibliographie primaire 294
Vers la liste des versions exclusivement imprimées 297
L’introduction des stemmas par la STFM 300
Influence de la tradition philologique pour textes anciens 303
Influence de la tradition anglaise 306
L’impulsion anglaise 309
La New Bibliography 310
Introduction de la méthode en France 311
De l’utilité relative de la bibliographie matérielle 314
Problèmes pragmatiques 315
Recenser les témoins 316
Localiser les témoins 321
Différence de statut des versions :
imprimés et manuscrits 323
La recherche en archives, de la condition sine qua non
à toute édition critique au récit exotique 325
Conclusion 326
LE TRAITEMENT ET LA COLLATION DES VARIANTES 327
Qu’est-ce qu’une variante ? 327
Variantes anciennes et modernes 328
Pratique analogique et pratique anachronique 329
Les variantes de transmission et les variantes d’écriture 332
912Diverses propositions de classement 335
La Variantistica, ou comment s’adapter
à un problème matériel 336
La collection des « Grands écrivains de la France » 338
Prémisses : les variantes de La Henriade de Voltaire,
par Nicolas Lenglet du Fresnoy 339
Appliquer un traitement philologique ancien
aux textes modernes 343
Essor de la charte éditoriale 345
Un principe éditorial : l’exhaustivité 350
Pragmatique de la collation 352
L’art de la collation, de Gustave Rudler
aux pratiques collaboratives 357
Gustave Rudler : pour une collation méthodique 357
Paul Laumonier : proposer un outil de travail 359
Vers les éditions semi-critiques 360
Pierre Buge et le modèle français
de la seconde moitié du xxe siècle 364
Les collations numériques :
OCR et collations collaboratives 367
Conclusion 370
LA RECHERCHE D’ERGONOMIE 373
La folie des signes 373
Historische-kritische Ausgabe : le modèle allemand 373
Les signes privilégiés pour les ajouts et les suppressions 376
Une tentative éditoriale génétique :
la collection « Paralogue » 381
Lisibilité de la table des signes diacritiques :
l’avantage du numérique 383
Comment désengorger les volumes 384
Éditions hybrides et sites compagnons 384
Proposition pour isoler les variantes 387
Vers un compagnonnage péritextuel ? 389
Les éditions pluriversionnelles 390
Une présentation tributaire de corpus particuliers 391
913Des éditions pour spécialistes ? 392
Un pas vers le grand public 394
Le regard généticien : l’« édition verticale » 395
Solutions numériques
contre la hiérarchie des versions 396
Conclusion 398
MONTRER LA DYNAMIQUE DE L’ŒUVRE 399
Montrer un work in progress 399
La présentation synoptique des Essais de Montaigne 400
La différenciation typographique 402
Usage de la couleur 404
Tentatives numériques 405
Le rêve de la génétique : imprimer un mouvement 407
Conclusion 410
Synoptiques sur éditions papier 411
Un outil de travail 411
La synoptique cantonnée au péritexte 412
Éditions synoptiques intégrales 414
Audience et limites des éditions synoptiques 417
Synoptiques numériques 418
Conclusion 421
QUATRIÈME PARTIE
THÉORIES DE L’ÉDITION CRITIQUE
RETOUR AUX SOURCES
Influences des germanistes et des médiévistes 427
L’aura du manuscrit et de la version princeps 427
Le manuscrit reconnu comme seul témoin valable :
le rapport Cousin 428
Introduction de la méthode allemande en France 429
Le statut du deuxième tirage 432
914Les fac-similés et les reproductions du « vrai » texte 434
Premier pas vers le fac-similé 436
L’édition musicale : l’Urtext comme réaction
contre les corruptions 438
Avantages et inconvénients du fac-similé 439
Conséquences philologiques de quelques politiques
de conservation par reproduction 442
Le fac-dissimilé 443
L’« originale » : un argument publicitaire 445
Le mythe de l’originale 445
L’originale identifiée comme la version primitive 447
La conciliation de deux critères :
vers la version originale définitive 451
Une opportunité économique 453
L’« originale », un terme marketing ? 456
La raison bibliophilique 458
Conclusion 461
VERSIONS HISTORIQUES 463
Fraîcheur de l’édition princeps 463
Lanson et ses successeurs :
la princeps et son importance historique 463
Le rôle de la Société des textes français modernes 466
Les versions « primitives » des œuvres de Corneille 467
La version « historique » par sa qualité ou sa particularité 469
La construction de l’édition de référence 470
Intérêt de la version pour l’histoire littéraire 473
Le prestige de traducteurs et de préfaciers 474
Des exemplaires singuliers 475
La date de naissance d’une œuvre 476
Les conséquences du mythe du retour aux origines 477
Préoriginales et première diffusion publique 478
Quand naissent les pièces de théâtre ? 480
Écueils de la représentation livresque d’une œuvre 482
Conclusion 483
915L’APPROCHE IDÉALISTE
L’éditeur scientifique comme conservateur-restaurateur 485
À la recherche des œuvres perdues 486
La quête du Graal 486
L’éditeur comme archéologue 487
La fascination pour les documents fantômes 489
La philologie-fiction 493
La reconstitution d’archétypes 494
La Quelle (ou « source Q ») et les essais de restitution 494
Karl Lachmann : reconstituer l’archétype 496
Les œuvres connues à travers des notes de cours :
les Quelle modernes 497
New Bibliography et ideal copy 500
Éditer avec des « si » : conjectures pour décider des « fautes » 502
Les erreurs de l’auteur 503
Les erreurs des copistes 504
Corriger des erreurs supposées évidentes 509
Les conjectures communes : « L’Esprit pur » de Vigny 511
Défauts matériels et défauts de structure 515
Comment signaler les interventions ? 516
Conclusion 517
L’APPROCHE TÉLÉOLOGIQUE 519
La dernière version autorisée 519
La destruction des états préparatoires 520
Influence de l’« encadrée » de Voltaire 521
L’influence des textes religieux et des éditions de Gœthe 524
Un axiome 525
Éditions définitive et ne varietur 529
Édition ne varietur 529
Édition « définitive » selon l’auteur 531
Édition posthume autorisée 533
Édition définitive selon l’éditeur 534
Des versions optimales : l’Ulysse de Gabler 536
Contre l’idéal du progrès 538
916L’édition comme éternelle remise en ordre 539
L’aura des fragments 539
Donner une forme à de l’informe 540
Le paradoxe de l’éditeur d’œuvres non autorisées :
la révision permanente 543
De La Volonté de puissance aux Fragments posthumes 545
Le numérique comme table de travail 546
Poursuivre le travail de l’auteur 547
Conclusion 551
LA SOCIOLOGIE DES TEXTES 553
Comment transcrire des éléments non écrits 554
Comment marquer l’oralité ? 554
Le théâtre et sa mise en scène 557
Les cours et conférences 566
Jusqu’où pousser la fidélité ? 568
Authenticité des éléments en périphérie :
titre, nom d’auteur, résumés 570
Aspects matériels et graphiques 576
Les mises en vers : répondre à une convention 581
Spécificités de l’édition originale :
la pagination et l’erratum 583
L’anarchie dans la tradition éditoriale française 585
Convertir la ponctuation et l’orthographe ? 586
La normalisation des brouillons 587
De la relativité de la ponctuation 588
Rendre homogène et cohérente la graphie 592
Adapter l’œuvre à son milieu : éditer ou traduire ? 597
Un risque : corriger les effets de style 598
Remèdes 600
Conclusion 601
917CINQUIÈME PARTIE
DISCOURS SAVANTS
LES PREMIERS PAS DE L’ANNOTATION 607
La note humaniste et rhétorique 608
Notes, remarques, observations 609
La note comme discussion : c’est la faute à Voltaire ! 612
… et son déclin tardif 617
La note moderne 622
Le modèle des thèses complémentaires 622
La note honteuse 626
La bibliographie érudite 629
Dérivée de l’édition variorum ? 630
Fonctionnement 632
Du commentaire exponentiel à l’édition enrichie 634
Avantages et risques du numérique 636
Conclusion et remarque sur la pérennité du commentaire 638
LA RECHERCHE DES SOURCES 641
Connaître l’origine du texte 641
L’influence relative des critiques romantiques
et la réaction d’Hippolyte Taine 642
La polémique autour des sources 644
Vers la constitution des bibliothèques d’auteur 648
Comparatisme et intertextualité 652
Vers une conception exclusivement livresque de la source 657
Le degré de fiabilité de la source 658
De la morale 658
Comment donner des garanties sur la source ? 660
L’apport de l’informatique 665
L’exigence de vérité 665
Vérifier les écrits 665
Les faux témoignages de Chateaubriand 667
918Les sept lacs de Rousseau 668
Les explications par le visuel : les cartes 670
Conclusion 674
RÉDUIRE LA DISTANCE DE L’ŒUVRE AVEC LE LECTEUR 675
Les écarts linguistiques 676
Les écarts par rapport à la norme : mots rares et stylèmes 676
Le projet de lexique de l’abbé Victor Verlaque 679
L’identification des mots difficiles 680
Lexiques étrangers et spécialisés 684
Avec quoi expliquer ? 688
Les conversions intégrales : éditions mixtes, jumelles,
synoptiques et bilingues 691
Le juxtalinéaire : pour l’acquisition des langues 691
Projet avorté d’édition double
pour les « Grands écrivains de la France » 692
Les volumes d’accompagnement et les éditions jumelles 693
Éditions pluriprésentationnelles et facilités numériques 694
Les noms de personnes 697
Les clefs 699
L’allusion nominative 704
Localiser la mention du nom propre 707
Les noms dans les journaux et correspondances 709
Conclusion 715
SIXIÈME PARTIE
ACCÈS À L’ŒUVRE
CARTOGRAPHIER ET ORGANISER LE CONTENU 721
Les sommaires : du résumé à la table des contenus 721
Fonctions et usages du résumé 721
Évolution de la terminologie 727
Les tables dans les éditions de correspondances 730
919Le classement alphabétique : un critère neutre 732
Un nécessaire refus de la linéarité ? 733
Le plan numérique de l’œuvre 735
Diviser et numéroter le contenu 739
Fonctions sociale, religieuse et pratique 740
Diviser l’œuvre littéraire 741
Numéroter les paragraphes 742
Numéroter en fonction du contenant :
volumen, codex et numérique 744
Organiser les contenus : de l’agencement thématique
à l’agencement chronologique 746
De l’agencement générique à l’agencement thématique 747
La tournure prise par le classement thématique
au xixe siècle 749
L’organisation analytique dans La Comédie humaine 751
L’influence de la critique biographique 752
La « méthode historique » 756
Conclusion 761
LES TABLES SYNOPTIQUES DES CONTENUS
(« TABLES DE CONCORDANCE ») 763
La conversion des renvois : assistance à la circulation
entre les versions 763
Les tables de contenus d’anciennes éditions
(les tables sans concordance) 764
Un outil philologique : retrouver l’information
présente dans les archives 765
Un outil pratique : convertir les renvois
vers une édition de référence 766
La table de concordance des Pensées de Pascal 769
Comprendre les remaniements de l’œuvre 772
Circuler entre différents états d’une œuvre
sans division 772
Les tableaux des constitutions progressives 774
Histoire de l’accroissement
du Dictionnaire philosophique de Voltaire 777
Tableaux comparatifs des Fleurs du mal
(de 1911 à aujourd’hui) 778
Les tables analytiques de concordance 786
Conclusion 787
Présentations génériques et propositions morphologiques 788
Les correspondances 789
Les recueils de maximes 792
La concordance dans le texte 798
Les tableaux synoptiques enrichis 799
Propositions alternatives à la linéarité
de la table de concordance 801
Conclusion 802
LES ACCÈS NON-LINÉAIRES AU TEXTE
(TABLES ANALYTIQUES, INDEX ET CONCORDANCIERS) 803
Les coulisses de la table analytique au xixe siècle 804
Le processus de la création des cartes 805
Les raisons d’un échec 807
La subsistance des tables analytiques 811
Renouveau des index au xxe siècle 815
Terminologie 815
Années 1960 : revendications lexicologiques 817
Le renouveau : Hubert de Phalèse 821
Nouvelles formes de l’index au format numérique 824
Quelques problèmes soulevés par les index 826
Pérennité, lemmatisation, homonymes et coût 827
La fiabilité du corpus 830
Le champ des possibles et l’euphorie numérique 833
Conclusion 835
CONCLUSION GÉNÉRALE 837
Spécificités des œuvres modernes 837
Typologie des théories 839
La consécration de l’auteur par les téléologiens 840
Essor d’une science 842
921L’édition critique aujourd’hui et demain 843
Possibilités offertes par l’informatique 844
Deux orientations actuelles de l’édition électronique 846
Deux écueils de l’édition électronique :
la procrastination et la péremption 847
Pour une épistémologie de l’édition critique 850
GLOSSAIRE 853
DICTIONNAIRE DES THÉORIES ET THÉORICIENS NOTOIRES,
ÉDITEURS SCIENTIFIQUES, LABORATOIRES, SOCIÉTÉS
SAVANTES, COLLECTIONS, INSTITUTIONS INFLUENTES,
LOGICIELS SPÉCIALISÉS DANS L’ÉDITION CRITIQUE 861
INDEX NOMINUM 883