Résumé : Les traités de poétique et de rhétorique de la Renaissance ne peuvent faire l’économie d’exemples concrets pour définir et illustrer ce qu’est la métaphore. Or, il s’avère que le statut de ces exemples et leur analyse critique sont révélateurs d’enjeux esthétiques et poétiques plus larges, touchant tout aussi bien aux « normes du bien dire » qu’aux droits concédés au genius singulier des poètes.