Résumé : L’article porte sur la tendance qu’ont certains romans sentimentaux à construire ou à étoffer leur trame par appropriation en miroir de textes extérieurs et antérieurs, grâce à une décontextualisation et une recontextualisation (parfois) désinvoltes. Les romans retenus sont Daniele Cortis (1885) d’Antonio Fogazzaro, Sixtine (1890) de Remy de Gourmont et Blanche ou l’oubli (1967) de Louis Aragon.