Résumé : Par fidélité à sa culture romantique, Maxime Du Camp a fait une large place à l’écriture du moi à tel point que la subjectivité s’est imposée dans son esthétique comme le mode d’appréhension privilégié du réel. Là où ses détracteurs voient un égocentrisme obsessionnel et les limites d’une œuvre, Du Camp a considéré face à l’autonomisation de la littérature, qu’il traçait la voie pour une autre littérature que celle de son ami Flaubert, qui allait bientôt occuper toute la place.