Résumé : Les textes de Maxime Du Camp qui ont pour cadre l’Italie permettent de dresser le portrait contrasté d’un écrivain relateur, journaliste, témoin engagé et conteur. Il n’y a cependant pas de solution de continuité entre des écrits que nous envisageons séparément. L’auteur ne se résout pas plus à l’idée d’une littérature séparée qu’à la professionnalisation en cours d’un journalisme qui abandonne le terrain des belles lettres. Son œuvre dit le refus de l’opposition entre écrivain et écrivant.