Résumé : L’histoire concentrationnaire a humilié la littérature ; une humiliation qui peut être propre à la re-susciter si cette dernière se résigne à dire l’humiliation. Avec Cayrol et Duras, la littérature se dit mortelle tout en se retenant d’en mourir. Ainsi se profile un écrit paradoxal qui ne peut advenir qu’à condition d’exhiber sa propre mortalité.