Résumé : La déterritorialisation au sens deleuzien implique la fluidité d’une écriture faite de multiplicités et traversée de différences, filtrée d’un flux de percepts et d’affects, de couleurs et de sons. Ces idées offrent une belle perspective sur la fluidité d’une écriture durassienne fondée comme elle l’est sur des territoires « liquides » actuels et imaginés, éléments qui imprègnent en particulier le décor du Vice-Consul, permettant ainsi à l’auteur d’y écrire à l’infinitif (Écrire).