Résumé : Chez Marguerite Duras ou Copi, les corps se désirent, se regardent, se fragmentent et construisent des identités nouvelles. Cet article analyse la construction du corps durassien, corps segmenté, lacéré par les inclémences du sexe et du mot dans L’homme assis dans le couloir et La Maladie de la mort, tout en essayant de mettre en avant les liens possibles avec la Eva Perón de Copi.