Résumé : L’appropriation du texte source qui inspire et nourrit le poète second illustre un phénomène de détournement poétique : la peinture de l’amour à la française ou à la russe, à la recherche d’un éternel féminin universel devient analyse d’une pathologie. Ces portraits d’amoureuses scandaleuses sont inspirés par des jeux de mots et d’esprit et des variations subtiles autour de l’innommable et de l’ineffable.