Résumé : Louise Colet se fait le chantre des femmes de lettres et d’une femme peintre italiennes qu’elle rencontre en personne, ou par un récit posthume lors de son périple en Italie. Ainsi, sans cloisonner les différentes disciplines, elle dresse un portrait personnel, parfois anecdotique, de chacune d’elle, ou bien résume en une phrase leurs travaux. Si l’Italie est à un tournant fondamental de son histoire, Louise Colet encense les femmes de lettres patriotes et notamment Anita, morte au combat.