Résumé : Cousin de quelques tentatives de poètes modernistes pour renouveler la prose narrative, Rodogune Sinne se tient en un lieu carrefour de l’œuvre de Schehadé. Ni strictement poème, ni strictement théâtre, mais nourrissant des affinités avec les deux versants majeurs de l’écriture de l’auteur, Rodogune Sinne en déploie les diverses virtualités. Schehadé y inscrit la merveille et sa disparition, le travail du silence, la présence continue de l’humour. Monsieur Bob’le y est en germe.