Résumé : Cet article s’attache à analyser dans une perspective diachronique la représentation du Maroc à travers les chromonymes et l’expression des odeurs dans quelques Guides Bleus. Dans une optique comparative avec le Guide du Routard (2018), il montre que nombreux sont les lieux communs, les figures de rhétorique et les topoï qui se répètent d’un guide à l’autre, tous ces guides participant à la construction du pittoresque si chère au touriste/voyageur occidental.