Résumé : À partir des nouvelles lignes de recherche sur la Rome philosophique, hétérodoxe et nicodémite, les champs examinés sont la fortune de la tradition ficinienne, la diffusion de pythagorisme et celle de la philosophie brunienne. L’analyse des œuvres, des documents et des biographies d’intellectuels exemplaires, permet de voir si une Rome a jamais existé qui ait eu une sensibilité philosophique et religieuse, alternative aussi bien au mortalisme des matérialistes qu’à l’orthodoxie catholique.