Résumé : Dans les années 1680, Bayle se prononce sur les controverses théologiques sur la liberté. Il dénonce leur vacuité, les réduisant à une querelle de noms. « Liberté » est traitée comme une étiquette applicable à toutes les positions en présence, y compris le spinozisme. Plutôt que de défendre positivement la compatibilité de la liberté et de la détermination, Bayle suggère que cette « liberté » pourrait aussi être décrite comme une absence de liberté.