Résumé : En raison des transformations socioculturelles qui la caractérisent, la première moitié du xxe siècle paraît traversée par une préoccupation marquée pour la noblesse, qui a continué d’exercer une fascination sur les écrivains. Davantage, c’est tout au long du siècle que l’imaginaire nobiliaire a contribué à orienter les dynamiques mutationnelles de la littérature, en fonction de paramètres qui, par bien des aspects, relèvent d’une tradition que la modernité tend à battre en brèche.