Résumé : Chez Auguste de Villiers de l’Isle-Adam, le péritexte assume fréquemment une fonction d’aristocratisation qui recoupe celle des signes iconiques et graphiques en fonction desquels, sous le nom d’héraldique, les familles de la noblesse se définissent, se classent et, partant, se distinguent. De telles scénographies prescrivent un programme axiologique auquel les textes villiériens ont à répondre pour légitimer l’identité nobiliaire qui leur est ainsi assignée.