Résumé : La conclusion du De natura deorum, où Cicéron semble adhérer à la position stoïcienne de Balbus, est surprenante. Dans ce travail sont repris les liens entre scepticisme et religion dans le contexte de la République romaine, par une analyse du discours de Cotta et une comparaison avec les positions ailleurs défendues par Cicéron. Ressort ainsi la critique des théologies populaire et stoïcienne, et comment cette critique sert la défense de la religion civile romaine et du mos maiorum.