Résumé : Partant d’une lecture attentive de la manière dont Le Tricheur fait surgir l’environnement naturel, cet article s’interroge sur les enjeux formels qu’implique la volonté de saisir un paysage non seulement statique, mais aussi en mouvement. L’analyse s’arrête à la manière dont Simon s’efforce de montrer l’homme comme partie intégrante du monde sensible. La nature apparaît comme un « jardin » où il est possible de vivre une expérience sensorielle que la vie quotidienne ne permet pas.