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Classiques Garnier

Table des poèmes

  • Type de publication : Chapitre d’ouvrage
  • Ouvrage : Les Poètes fantaisistes. Une anthologie
  • Pages : 263 à 271
  • Collection : Bibliothèque de littérature du xxe siècle, n° 34
  • Thème CLIL : 3436 -- LITTÉRATURE GÉNÉRALE -- Oeuvres classiques
  • EAN : 9782406114383
  • ISBN : 978-2-406-11438-3
  • ISSN : 2258-8833
  • DOI : 10.48611/isbn.978-2-406-11438-3.p.0263
  • Éditeur : Classiques Garnier
  • Mise en ligne : 02/09/2021
  • Langue : Français
263

Table DES POÈMES1

Paul-Jean Toulet

Aimes-tu les jours dor  34

Aimez-vous le passé  46

Au pays du sucre et des mangues  33

Au temps daimer, où lon peut voir  36

Auguste, Faïs, Esclarmonde  36

Brouillard de lopium tout trempé dindolence  49

Cest dimanche aujourdhui. Lair est couleur du miel  50

Cétait sur un chemin crayeux  43

Carthame chatoyant, cinabre  39

Ces premiers froids que lon réchauffe  47

Circé, de ces fuyants rivages  35

Circé des bois et dun rivage  39

Dans Arle, où sont les Aliscams  44

Dans la rue des-Deux-Décadis  42

Décor dencre. Sur le ciel terne  46

Derrière les rideaux des fenêtres closes  34

Deux vrais amis vivaient au Monomotapa  50

Etranger, je sens bon. Cueille-moi sans remords  50

Iris, à son brillant mouchoir  37

Lhiver bat la vitre et le toit  38

Limmortelle, et lœillet de mer  40

La vie est plus vaine une image  44

Le sable où nos pas ont crié  49

Le temps irrévocable a fui  45

Madame, qui leût dit que dans vos bras habite 49

264

Nane, as-tu gardé souvenir  47

Nuit damour qui semblais fuir entre deux dimanches  50

O mer, toi que je sens frémir  38

O nuit parmi les nuits de laque et de vermeil  49

O poète, à quoi bon chercher  40

On rit, on se baise, on déjeune  50

Pour une dame imaginaire  43

Puisque tes jours ne tont laissé  48

Quimporte si lautomne a fané le séjour  49

Saïgon entre un ciel descarboucle  42

Si vivre est un devoir, quand je laurais bâclé  51

Sur le canal Saint-Martin glisse  48

Toi qui fais rêver, ô brune  45

Toute allégresse a son défaut  44

Voici que jai touché les confins de mon âge  50

Vous mavez demandé des vers, Mademoiselle  35

Vous qui retournez du Cathai  41

Jean-Marc Bernard

Ah ! laissez-moi, Francis et vous, Derème  70

Cest le calme des dimanches  61

Cest une halte dun moment  68

Ce ne sont pas des vers  64

Ce soir encore tu te lèves  68

Dans ce miroir fluide où mon regard voyage  69

De besongner je suis fetart  65

Du plus profond de la tranchée  71

Jai noyé mon péché dans la source profonde  70

Jai trouvé sur la route un cabaret ancien  58

Je la méprise et je ladore  60

Jetons les livres allemands  63

Le ciel est gris et bas. Le vent  60

Me voici vieux et cependant  68

Plus un seul promeneur ne passe  64

Remplis la coupe jusquaux bords  67

Sèche tes yeux, enfant chérie  59

Si lété, maintenant, colore ton visage  57

265

Si tu désires me troubler  71

Tais-toi ! Pourquoi mentir encore  59

Tandis que fleurissent les roses  67

Tandis que je sommeille encore  67

Ton visage se fane et ta chair est moins blanche  57

Tu jurais autrefois, dans tes pleurs et tes cris  60

Jean Pellerin

Aimer. Sieste sur le rivage  91

Calypso voit partir Ulysse  91

Cest lheure où parle le clocher  79

Cest votre anniversaire, ô Mallarmé, mon maître  86

Cest vrai, jaurais pu devenir  76

Cétait au temps où lécolier  84

Ce souffle qui chante au-dessus  83

Comme je descendais une rue impossible  96

Dix-sept avril. Ami Tristan  92

Elle vint, très lasse  94

Grâce à toi lunivers sexplique  89

Ivre danis et de tristesse  88

Jai pleuré par les nuits livides  88

Je courais après les taxis  94

Je me rappellerai la masure concave  85

Je ne me suis pas fait la tête de Musset  77

Journaux, feuilletons, détectives  90

Labsinthe est toujours verte  95

Lalcool était quadragénaire  80

Le moustique est vénitien  78

Le chat sétire, se caresse  87

Le présent va glisser. Et la porte se clore  86

Le premier frisson du matin  83

Le vent a poussé les auvents  82

Les mille insectes de la pluie  82

Notre amour, ce soir, se penche  77

O brume du tabac dans le matin frileux  86

O tristesse des parapluies  90

Paris, milliers de promesses  88

266

Petite pipe et petit matin  87

Pour dire combien nous nous plûmes  93

Prends ta pipe que vêt, précieuse, la crasse  76

Quand au dining-car dîne Alice  96

Quand lautre fut parti, Circé  94

Quand mon fil se cassera sous  83

Que ton bras se lève et trace  81

Rester là ! Fermer les persiennes  90

Ta nuque est une fleur choisie  89

Ton peignoir qui claquait dans le vent de la rue  95

Tous les yeux qui mont éclairé  93

Un courageux poilu dans le tapis de lherbe  86

Un monde est reconstruit. Il étage les vignes  88

Une lèvre mordue au sang  98

Viens. Un palingénésique  93

Vingt ans, il a tenu les formes, les puiseaux  75

Vos coussins dor et ces tentures  85

Francis Carco

Ah ! Je taime ! Où donc es-tu  103

Arlequin offrait à la lune  108

Au fond de limpasse  131

Belle nuit de février  113

Cest au son de laccordéon  114

Cest lépoque où, tendant sur un mollet bien fait  112

Cest toujours la même chanson  128

De Bayonne où je vous écris  114

De Paris où je vous écris  114

Des masques et des dominos  107

Des viveurs éreintés seffondrent après boire  107

Est-il mort, est-il vivant  111

Figaro joue de la guitare  109

Il pleut – cest merveilleux. Je taime  116

Je me souviens de la bohème  127

Je me suis promené tout ce soir  133

Je ne sais pas, je ne sais plus  130

Je te donne ce coin fleuri  104

267

La fraîcheur vive du boulevard  132

La lumière des globes blancs  111

La rue avec ses maisons blêmes  117

Le chaland qui passe est passé  130

Le doux caboulot  112

Le paysage est imprécis  106

Les tilleuls parfumaient la blonde matinée  102

Maquerelle, maquerelle  109

Mieux quun jardin paisible aux arbres vermoulus  106

On danse. – Des voyous maigres  132

On ne voit pas, on la devine  129

Où va la pluie, le vent la mène  115

Pauvre accordéon de la rue  129

Quand je me revois au Quartier  118

Ta tristesse est chose dautomne  102

Un arbre tremble sous le vent  105

Un beau décor  104

Un petit vent doux rabat la persienne  108

Villon quon chercherait céans  110

Leon Vérane

A ceux-là qui furent trop fiers 153

Ah ! que la vie est quotidienne  155

A lheure où sallume Vesper  157

Avec leurs robes à ramages  152

Chabaneix, vous souvenez-vous  154

Comme le soir fanait les vitraux des ogives  137

Dancing ! Des nègres en fureur  150

Dans ce caboulot  151

Dans la cité des citronniers  138

Dans les rameaux des ifs et des cèdres en cône  137

Des spires de fumée enrubannant ta pipe  141

Jai courbé les jets deau sur les bassins moirés  139

Laverse de la pluie de ses aiguilles blanches  140

La fille et le rasta sappliquent  149

La servante a posé sur la table trapue  140

Le clocher du village a cassé le ciel dur  139

268

Le jade vert du bracelet  143

Le soleil dAoût brise ses flèches  141

Le vent à la porte du bouge  150

Les crocheteurs, les marlous  153

Les platanes de lesplanade  142

Mon cœur de vingt ans tout plein de chansons  156

Muselli, couchons sous le sable  147

On raccommode la faïence  144

Paul-Jean Toulet, les digitales  148

Quand il nous faudra, cédant à la Parque  145

Sabreuver au ruisseau et dîner dun croûton  146

Vers quelque lointaine Colchide  143

Tristan Derème

Allez et que lamour vous serve de cornac  161

Délaissons, sil te plaît, Baruch de Spinoza  166

Des mois ont fui ; mais ma pensée  164

Fumerai-je au soir de ma vie  165

Hélas ! Jentends encore les romances lointaines  176

Jexprimais autrefois dune façon morose  162

Je dirai pour linstruction des biographes  167

La patronne dun tir forain  172

Le jardin bourdonnait de soleil et dessors  165

Le poète qui rêve et lève une mandore  179

Les jours sont plats comme des soles  164

Mon espérance était tombée  162

Nous nous taisons. Le vent balance  171

Quand on na plus ni sou, ni bûche, ni fagot  163

Quand tu mauras quitté (ne lève pas les bras)  163

Que de fois jai souri pour te cacher mes larmes  168

Quelque rose que tu cueilles  172

Reste étendue encor sous la chaude verdure  171

Six heures tombent de lhorloge  170

Sois indulgente, Muse, à qui te vient prier  175

Ton nom, ce soir, dans nos regrets  174

Triste, à côté du chien et du chat, jai chauffé  170

Un visage, une phrase, un merle, ce fruit dif  167

269

Une pie de neige et débène  169

Vous, Carco, Pellerin, Vérane et vous Jean-Marc  166

Vous que je vois dans la clarté des lampadaires  166

Tristan Klingsor

Ces signes mystérieux que ma main  187

Dimanche bon Parisien va-t-en  192

Du bout de la rue du Bac  194

Il pleut. Lescargot gris  195

Jolie servante hollandaise  189

Lalouette a beau chanter  197

Laverse a cessé ; le vieux soleil rit  196

La lune peut  190

La pluie peut tomber plus fort  192

La terre tourne comme elle peut  194

Le petit jour est gris souris  193

Mets ta main fine sur mon épaule  187

Plaisir damour ne dure quun moment  189

Quelle heure est-il ?  191

Si jétais un poète de la bonne école  197

Sur le parapet du Pont-Neuf de Paris  188

Robert de La Vaissière (Claudien)

A ce bal où je rencontrai la Ondédei  204

Anna Steel, qui descendait la rue  204

Dans cette petite chambre que chauffe  205

Lheure est venue et lheure viendra  206

Le premier soir que josai lui adresser la parole  205

Le verre de vin quon me servit  203

Un secret nous conduit jusque-là  201

Un vent froid faisait battre le volet  202

René Bizet

Clair de lune au bord de leau  218

Dans la taverne où se dandine  212

Dans le bruit, aux lumières électriques  210

De la fumée, lodeur de lalcool  214

270

Le saxophone, au fond du bar  216

Ne regarde pas la lumière  215

O printemps tenace et perfide  219

O toi dont la main cruelle  214

On dit toujours le bout du monde  217

Peut-être nest-il rien de mieux  218

Sur le pont du steamer quincline  211

Tout sen va ; les dieux nous délaissent  211

Tumultueux le soir bourdonne  213

Noël Ruet

Elle revient, ta fervente amertume  229

Jai changé Je nai plus le même souffle à lâme  233

La jeunesse du jour est une pluie de fleurs  231

La rue est vide et le ciel frais  230

Lèvres rouges, cils drus raidis de mascaro  224

Paul-Jean Toulet, maître des vers  226

Sur la masse du ciel, les étoiles scintillent  232

Tel le vol dun colibri  224

Tristan Derème, dans tes livres il y a  225

Un ciel dargent clair, uniforme  223

Voici des vers pour vous, capricante Isabelle  228

Philippe Chabaneix

A la saison où léglantine  246

Ah ! Laissez-moi rêver quun soir de lan deux mille  250

Aux blancheurs du silence  244

Avant quà lorient renaisse le soleil  239

Avec le vent loiseau qui vole  247

Cest dans limpasse des Trois Anges  247

Cest toi. Tes grands yeux noirs sont les mêmes et ton  239

Ce cœur fol et fidèle  245

Ces beaux jours ne sont pas trop loin de nous enfuis  244

Des lanternes brillaient sur de sombres façades  249

Elle avait à ses doigts une rose. La pluie  238

Folle amoureuse au nom de fleur  249

Jamais aucune balance  253

271

Je songe à des oiseaux venus dOcéanie  243

Las-tu seule entendue  253

La Seine emporte, lente et grise  251

Le brouillard sépaissit au-dessus des faubourgs  246

Le ciel brumeux, la vie amère  248

Les douces voix des écolières  241

Les volets jaunes de lauberge  237

Nouvre pas tes rideaux sur la beauté du monde  243

Où donc est ce printemps fané comme une automne  240

Où dormez-vous soupirs comme en songe exhalés  241

Où sont les rendez-vous  241

Plus que sa mère et que sa sœur  239

Printemps mouillé, désir des jeunes femmes, fleur  240

Puisque de ton sommeil cette aurore est lamie  242

Quelque long soir dété sous les ormes du mail  250

Rose des nuits davril où saigne le printemps  243

Tu aimais les raisins de Corinthe, les mangues  237

Un air daccordéon  252

Une colombe sur le toit  251

Va-t-il encor pleuvoir longtemps  248

1 Plusieurs poèmes nayant pas de titre, nous avons choisi dindexer lensemble des poèmes retenus par leur premier vers (ou incipit, pour les poèmes en prose).