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Classiques Garnier

Table des incipit des Poésies de Malherbe

  • Type de publication : Chapitre d’ouvrage
  • Ouvrage : Les Poésies
  • Pages : 331 à 336
  • Réimpression de l’édition de : 1999
  • Collection : Société des Textes Français Modernes, n° 47-48
  • Thème CLIL : 3436 -- LITTÉRATURE GÉNÉRALE -- Oeuvres classiques
  • EAN : 9782406104698
  • ISBN : 978-2-406-10469-8
  • ISSN : 2777-7715
  • DOI : 10.15122/isbn.978-2-406-10469-8.p.0405
  • Éditeur : Société des Textes Français Modernes
  • Mise en ligne : 18/08/2020
  • Diffusion-distribution : Classiques Garnier
  • Langue : Français
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TABLE DES INCIPIT DES POÉSIES
DE MALHERBE


(Les piéces attribuées â Malherbe sont en italique; les numéros suivis d'un astérisque sont ceux de l'appendice. —Dans l'indication des pages, le premier nombre, en caractéres romains, donne l'emplace- ment de ]a poésie; le second nombre, en italiques, renvoie â l'indica- tion des sources.)
A ce coup nos frayeurs n'auront plus de raison
(XXIV) toz
Ainsi quand Mausole fut mort (LXXXIX) 238, q26
A la fin c'est trop de silence (XXVII). to6, 3ry
A la fin tant d'amants dont les ames blessees
(LXXVII) 2 i 3
Allez â la malheure, allez, ames tragiques (XCIX) 257
Ames pleines de vent, que la rage a blessées (C) 258
flu dednns ce n'est qu'nrtifice (VI*) 305
Beau Ciel, par qui mes jours sont troubles ou sont
calmes (LXX) 200, j2j
Beauté de qui la grace estonne la Nature (LIII) i6o
Beauté, mon beau souci, de qui lame incertaine

(LXIX) ty8
Beaux et grands bastimens d'eternelle structure (LIV). t6t
Belle ame aux beaux travaux sans repos adonnée

(XCIV) z5o
Belle ame qui fus mon flambeau (XCIV) 249
Caliste, en cet exil j'ay lame si gesnée (LV) t6z
Ce livre est comme un sacré templè (CXXX) 293
Celle qu'avoit Hymen i! mon coeur attachée (XCII) 2qg, jz8
406 3 32 LES PO~SIES DE M. DE MALHERBE
Ce n'est pas en mes vers qu'une amante abusée (IV). 8,;zz
C'est assez, mes desirs, qu'un aveugle penser
(XLVIIi) r S z
C'est fait, belle Ca]iste, il n'y faut plus penser(LI) r S8
C'est faussement qu'on estime (XLIII) rot
Cet absynthe au nez de barbet (XL) r 3 r
Cette Anne si belle (LXXIX) z2o
Ceux-cy de qui vos yeux admirent la venuë
(LXXXII) zz6
Chere beauté que mon ame ravie (LXVIf) t94
Complices de ma servitude (LXIII) r84
Consolez-vous, Madame, appaisez vostre plainte
(LXXXIV) z; t
Descharge~ votre cæur, pleure, grande Princesse (III') 302
Destins je le connoys, vous avez arresté (XIII) S 5
Donc apres un si long sejour (LXXV) zoo
Donc ceste merveille des Cieux (LIX) r68
Donques tu ne vis plus, Geneviève, et la mort (CVI), z66, jzy Donq un nouveau labeur à tes armes s'appreste
(XVIII) 6z, jz¢
Dure contrainte de partir (LVII) t64
Elle estoit jusqu'au nombril (CXXVIII) z9z
Enfin apres les tempestes (VIII) 3;,;z3
En fitr, apres tant d'années (XI) So, 3z¢
Enfin ceste beauté m'a la place renduë (XLIV) r44>3z9
En fitt l'ire du ciel et sa fatale envie (LXXXIII) 2z8, 3z¢
Enfin ma patience et les soins que j'ay pris (LXVI) , t9z
Enfin mon Roy les a mis bas (LXXV) 286
En vain, mon Colletet, tu conjures la Parque (CXXIX). 2q;
En vain, mon Garasse, la rage (CXXI) z8t
Esprits qui cherchez à mesdire (CXX) 28t
Est-ce à jamais, folle esperance (XLV) t49, jzo
Et maintenant encor, en test age panchant (CXIX) , z8o
Et quand j'auray peint ton image (CIV) 26r
Et quoy donc ! la France, feconde (LXXX) 2zr
Grand et grand Prince de I'Eglise (XCVI) 2ç2
407 TABLE DES INCIPIT 333
Grand fils du grand Henry, grand chef-d'oeuvre des
Cieux (CXVI) 2y8
Houlete de Louys, houlete de Marie (LXXVIII) ztS, 32j
Icy dessous gist Monsieur d'Is (CIX) z~;
II est civil, accostable (VIII*) ;06
Il est vray, la Vieuville, et quiconque le nie (XXVIII) t2t
Il ne faut qu'avecq le visage (CVII) z~z
Il n'est rien de si beau comme Caliste est belle (LII) t 59, j2z
Ils s'en vont, ces roys de ma vie (XLIX) t S4
Infidèle mémoiré (CVII) z~6
Janne, tandis que tu fus belle (XXXVIII) t;o, 3z8
Je fay voir mes regrets pour nourrir vos douleurs (IV*) ;04
Je pense, o luisante et belle eau (V*) ;oS
J'estime Laceppede, et l'honore, et l'admire (XXX) tz;, jz8
Je veux croire que la Seine (CIII) z6o,;28
La Garde, tes doctes escris (CXXVI) z86
Laisse moy, raison importune (LVIII) t66, 3zz
L'Art aussi bien que la Nature (VI) 2S, jr2
L'Art, la Nature exprimant (CXVIII) z~y Le dernier de mes jours est dessus l'orizon (XLVI). t48 Le guerrier qui bruslant dans les cieux se rendit
(CVIII) zyz
L'ennemy tous droits violant (XXXIX) t; t Les destins sont vaincus, et le flus de mes larmes
(LXIV) t88,g22
Les funestes complots des ames forcenees (II) S, 3zo
Le soleil ici-bas ne voit que vanité (IX*) ;off
Les peuples, pipez de leur mine (CII) 2S9 L'Orne comme autre-fois nous reverroit encore
(XCVII) zS 3, 328
Loüez Dieu par toute la terre (V) 24
Ma Grisante, nvecq :ane foy (X*) ;oq
Mes yeux, vous m'estes superflus (XCVII) t S t
Mon Roy, s'il est ainsi que des choses futures (IX) 4t
Mopse, entre les devins l'Apollon de cet age (XV) S~
Muses, je suis confus :mon devoir me convie (XVII). 60
408 334 LES POÉSIES DE M. DE MALHERBE
Muses, quand finira cette longue remise (XXIII).. , IOI
Muses, vous promettez en vain (CXIV) 2~~
Naguere, tout à coup, un dormir aeternel (CV) 265, 3z9
N'atends, Passant, que de ma gloire (XCI) 2¢8
Ne deliberons plus; allons droit à la mort (XLI) 137, jr8
N'egalons point cette petite (LXXXVII) 234
N'esperons plus, inon ame, aux promesses du monde

(III) ~, jro
Nymphe qui jamais ne sommeilles (XX) 8;,;r6
Object divin des ames et des yeux (XXII) 9~
O Dieu, dont les boutez de nos larmes toucllees

(VII) 27, ;rz
O qu'une sagesse profonde (LXXXI) z24
Or sus, la porte est close aux tempestes civiles

(CXVII) zy9
O Sagesse éternelle, à qui cet univers (I) 3, 3oy
O toy, qui d'un clein d'oeil, sur la terre et sur l'onde

(XCVIII) 257
Passans, vous trouvez à redire (CXIII) z7~
Peuples, ça de l'Encens; Peuples, ça des Victimes (ÇXXII) 282
Peuples, qu'on mette sur la teste (XIX) ~ I, 3 r f
Phylis, qui me voit le teint blesme (L) ISS
Pleine de langues et de voix (LXXVI) z10
Plus Mars que Mars de la Thrace (LXXXV)...... , , z;2, 3zf Prier Dieu qu'il vous soit propice (LXXII) zoz
Qu'autres que vous soient desirées (LXVIII) 196, jz3
Qu'avec une valeur à nulle autre seconde (XVI) S9
Que Bellone et Mars se détachent (LXXIV) 204
Que d'espines, Amour, accompagnent tes roses
(LXI) I ~~, 3zr
Que direz-vous, races futures (X) 4z,;r;
Quel astre malheureux ma fortune a bastie (LVI) r6;
Que l'épée et la dague (CXXXIII) z94
Que l'honneur de mon Prince est cher aux destinées
C~V) 56
409 TABLE DES INCIPIT 3 3 S
Quelque ennuy donc qu'en cette absence (LX) t72,3z7
Quelques louanges nompareilles (XXXIII) t z6
Quels seront les derniers tombas (CXV) 278 Que mon Fils ait perdu sa despoüille mortelle (CXX1V) z8s
Que n'estes vous lassées (LXII) t8t,3zz Quoy donc, c'est un arrest qui n'espargne personne
(CXI) z76 Quoy donc, grande Princesse, en la terre adoree
(XXV) ro;
Quoy donc, ma lascheté sera si criminelle (XLII) t4o,;i9
Quoy gue l'autheur de ce gros livre (VII*) 306
Race de mille Roys, adorable Princesse (XXVI) to$
Revenez, mes plaisirs, Madame est revenuë (LXV) t9o, 3z2
Sacré Ministre de Themis (LXXXVIII) z34, jzf
Sa vertu m'attire (XI*) 308
Si les maux renaissans avec ma patience (CX) z74
Si l'on peut acquerir par la plume la gloire (CXXVII) 29t
Si quelque avorton de l'envie (XXI) 89, 3r6
Soit que de tes lauriers la grandeur poursuivant (XII), ç 3
Sus debout, la merveille des Belles (CXXIII) 283, 3zg
Ta douleur, du Perier, sera donc eternelle (XC) z4z,;z6
Tantost nos navires, braves (CI) 2S9
Tant que vous serez sans amour (LXXI) zo2
Trois ans desja passez, theatre de la guerre (XXIX) izz, 318
Tu dis, Colin, de tous costez (XXXVII) ... t z9
Tu faus, du Pré, de nous pourtraire (XXXV) tz7 Tu me ravis (Du Maine), il faut que je l'avouë
(XXXI) i z4
Tu vois, Passant, la sepulture (LXXXVI) 2;; Va-t en à la malheure, excrement de la terre
(XXXVl) tz8, pz8
Voicy de ton Estat la plus grande merveille (CXXIII) zo;
Voicy du grand Montnigne urze entiere figure (II*) 3ot
Voicy venir le temps que je vous avois dit (CXXXI) z94, 330
Vois-tu, Passant, couler ceste onde (XCV) zs t
410 336 LES POÉSTES DE DT. DE MALHERBE
Yostre Pasquin est magnifrque (I*) 3ot
Vous avez beau, mon berger (CXXXII) z94
Vous, dont les censures s'estendent (XXXIV) tz~
Voyant ma Caliste si belle (XXXII) tz5