Résumé : Après les Grandes Nuits de Sceaux, la duchesse du Maine est encore partie prenante des deux accès de « fièvre abdéritaine » qui s’emparent de la société française, d’une part, au début des années 1730 – époque qui voit l’ouverture, en 1734, d’une salle de théâtre à l’Arsenal – et, d’autre part, à la fin des années 1740.