Résumé : En 1891, dans un des articles qu’il a consacrés à Claude Monet, Mirbeau s’attarde longuement sur un portrait de la belle fille du peintre, qui frappe par sa différence avec le reste de l’œuvre. Au moyen d’un texte de facture poétique, il montre comment le tableau résiste à l’analyse et suggère, de façon plus ou moins explicite, trois lectures possibles qui sont autant de manières pour lui de s’interroger sur les ressorts d’une création digne de ce nom.