Résumé : Les témoins les plus anciens de dansa conservés en Catalogne, parfois associés à une notation musicale, montrent l’influence de structures strophiques associées à des mélodies de type responsorial qui, tout au long du XIVe siècle, enrichissent l’éventail des formes à refrain de l’ars nova française. La lyrique catalane médiévale, héritière des troubadours, assimile très tôt les innovations de la poésie et de la musique françaises, mais les adapte à sa propre tradition littéraire.