Résumé : Les romans à insertions se placent, aux xiiie et xive siècles, entre recherche de nouveauté et désir de conservation musicale. Certains manuscrits sont munis de musique ou la prévoyaient, d’autres sont porteurs d’indications marginales attirant l’attention sur les citations. Destination musicale ou jeu stylistique ? Sans concurrencer les chansonniers, ces textes poético-musicaux tiennent une place à part dans le domaine de la conservation et de la transmission du répertoire lyrique.