Résumé : Depuis le milieu des années 2000, certains ingénieurs des chemins de fer sont employés dans un organisme chargé de la valorisation du foncier situé au cœur des métropoles. L’ethos du service public, qui anime encore les plus anciens de ces ingénieurs, s’oppose aux valeurs libérales des plus jeunes générations qui voient dans ces nouvelles fonctions des opportunités pour modifier les pratiques de travail, favoriser le recours aux consultants externes et accélérer le rythme de leur carrière.