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Classiques Garnier

Table des matières

  • Type de publication : Chapitre d’ouvrage
  • Ouvrage : Les Lois de l’économie selon les romanciers du xixe siècle
  • Pages : 555 à 558
  • Collection : Études romantiques et dix-neuviémistes, n° 96
  • Thème CLIL : 4027 -- SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES, LETTRES -- Lettres et Sciences du langage -- Lettres -- Etudes littéraires générales et thématiques
  • EAN : 9782406097471
  • ISBN : 978-2-406-09747-1
  • ISSN : 2258-4943
  • DOI : 10.15122/isbn.978-2-406-09747-1.p.0555
  • Éditeur : Classiques Garnier
  • Mise en ligne : 02/03/2020
  • Langue : Français
555

Table des matières

Introduction

Une « science sans entrailles » ?     9

Une idée reçue     11

Les lois naturelles de léconomie    17

Le roman expérimental de léconomie    23

Stendhal économiste    27

De la littérature comme objection de conscience    33

PREMIÈRE PARTIE

LES PASSIONS ET LES INTÉRÊTS

Stendhal et laporie du calcul utilitaire    45

DHelvétius à Bentham    53

Le calcul, condition de lhomme moderne ?    58

Le felicific calculus dans le Journal ou De lamour    62

Trois limites du calcul    66

Le héros calculateur    75

Balzac au prisme de Hirschman    87

La « grande transition » selon Balzac    91

Peut-on parler dun gouvernement des intérêts ?    97

Le Médecin de campagne   101

La réhabilitation esthétique et morale des passions   111

556

Émile Zola et la fable des abeilles   115

Le personnage exceptionnel stendhalien   117

Les « appétits » et la « poussée »   121

La « poussée » a-t-elle une direction ?   124

La bataille des intérêts   127

Parenthèse vernienne   136

Libéralisme et darwinisme   140

Abolir ou accepter lintérêt ?   146

Conclusion de la première partie   151

DEUXIÈME PARTIE

LA DIVISION DU TRAVAIL

Deux fabriques de clous   167

Verrières   167

La Goutte dOr   184

Comment régénérer le travail ?   201

LÉvangile des forgerons (de LAssommoir à Travail)   201

Lœuvre domestique (les petites boites de Zola
et les ronds de serviette de Flaubert)   219

Œillères ou surplomb
du narrateur et du romancier   231

Le « fonds commun à lhomme et au poète ».

Flaubert et la spécialité   231

Le héros et son point de vue   242

Conclusion de la deuxième partie   253

557

TROISIÈME PARTIE

LA LOI DES DÉBOUCHÉS

Consommer, produire, créer

Stendhal lecteur de Say   269

Une lecture de parti pris   270

Les théories stendhalienne
et malthusienne de la demande   274

Léconomie politique et le lazzarone   286

Lintensité de la demande comme principe romanesque ?   292

Dépenser nest pas consommer   297

Un romanesque de loffre   300

La multiplication des choses   309

Le paradoxe balzacien   314

La production du détail   315

Lusure des objets   318

Lutopie de la frugalité   324

Limperméable et leffet de réel (Flaubert)   329

La fascination pour la chose   331

Les nouveaux objets industriels   333

Leffet de réel   343

Leçons de choses (Verne)   348

Le Magasin dÉducation et de Récréation
et la chambre denfant   348

LÎle mystérieuse   351

Le savoir et le travail   361

Conclusion de la troisième partie   367

558

QUATRIÈME PARTIE

LA LOI DE MALTHUS

Principe de population et destin du héros

Stendhal lecteur de Malthus   393

Surplus child et sens du monde   397

Garder la tête froide contre le mélodrame   400

Lirréel du passé   406

Le coût dopportunité   414

Le malthusianisme contrarié de Zola   419

Le vice   424

La « divine imprévoyance »   435

Lenfant surnuméraire   441

La pensée des limites   448

La loi de Spencer   452

Jules Verne et lépuisement des ressources   459

Verne et Malthus   462

Les contradictions du roman Les Indes noires   468

Ladieu au monde   475

La mélancolie des mondes connus   480

Conclusion de la quatrième partie   487

Conclusion   495

Bibliographie   511

Index nominum   545